Qu'est-ce que le CIVD ?
Le CIVD est une association, loi 1901, sise à Paris 8.
Elle est née en 1984 à la suite d’un festival interculturel, organisé dans le cadre d’un cours de français langue étrangère d’Annie COUËDEL, maître de conférences à Paris8.
Le CIVD est un lieu de formation et de socialisation qui agit, à partir de ses principes d’interculturalité, autour de trois points essentiels :
- permettre l’expression de diverses cultures présentes à Paris 8
- favoriser la rencontre et la convivialité entre les étudiants, à travers des projets d’éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale
- promouvoir de jeunes talents de notre université
- ouvrir l'université sur l'extérieur
- créer un lieu d'animation permanente
Pour atteindre ses objectifs, le CIVD organise une série d’activités parmi lesquelles :
- Le Festival interculturel : Etudiants et autres pendant 3 jours, s’expriment à travers théâtre, concerts, exposition photos, vidéos, cuisines du monde, défilé de mode et ateliers divers.
- Des voyages d’échanges culturels et de solidarité internationale au Togo, au Sénégal, en Serbie, en Bulgarie, au Mexique…
De plus, le CIVD peut aider à porter des projets culturels ou artistiques devant la commission du FSDIE pour l’obtention d’une aide financière.
Et l'AMAP?
C'est en 2005 que d'anciens membres du CIVD fondent l'ONG AMAP, afin de sortir du cadre universitaire et permettre le développement d'une relation interculturelle où se rencontrent peuples et cultures, à un niveau international.
L’AMAP (Amitié des Peuples du Monde) est située à Paris et travaille étroitement avec le CIVD qu'elle soutient dans la réalisation de ses projets.
Composée de professeurs en activité et à la retraite, mais aussi d’anciens étudiants de Paris 8 ou correspondants à l’étranger, l’AMAP apporte au CIVD son soutien en termes de conseils et d’approche.
L'AMAP met aussi à disposition un grand réseau de membres présents à l'international dans le but de rendre compte de la diversité culturelle et de favoriser des échanges entre des mondes qui s’ignorent.
